AGIR contre les impayés

RGC Contentieux Dentaire est une société spécialisée dans le recouvrement dentaire.

Pour agir contre les impayés, les dentistes ne sont désormais plus seuls. Une société de recouvrement parisienne, RGC Contentieux Dentaire, propose ses services au moyen d’une procédure simple et rapide, sans frais de dossier.
Explications.

Qu’il s’agisse d’une consultation à 40 euros ou de soins plus lourds, dont le coût peut atteindre plusieurs centaines d’euros, peu importe le montant, explique Steve Manai, directeur de la société RGC Contentieux Dentaire.

Une seule condition existe : que la créance soit datée de moins de cinq ans. « J’interviens auprès des dentistes français pour obtenir le solde de dettes laissées par certains de leurs patients. Même celles qu’ils considèrent perdues. Cela, et c’est
notre spécificité, sans avance de frais », explique le spécialiste du recouvrement.

RGC Contentieux Dentaire s’est spécialisée dans le secteur Dentaire. Car, contrairement à la plupart des sociétés de recouvrement qui offrent leurs services à tous types d’entreprises, le domaine dentaire possède des spécificités dont il faut
tenir compte. Pour Steve Manai, cette approche sectorielle est avant tout une question de « qualité de service ».

Atteindre l’objectif dans le respect de la patientèle.

L’objectif est le solde total des créances, la procédure est simplifiée.

Concrètement, il suffit pour les dentistes de s’inscrire sur le site internet de RGC, via un formulaire de contact. « Nous avons articulé notre concept autour de la simplification des démarches, pour atteindre notre objectif qui est le solde des
créances de nos clients.

Nous avons voulu faciliter cet aspect de leur business qui leur semble souvent désagréable, mais qui est pourtant nécessaire. » Une fois les coordonnées du débiteur validées, la procédure de recouvrement peut aller très vite. « Mais pas
question pour autant de se conduire en cow-boys », ajoute Steve Manai.

Si certaines agences de recouvrement font usage de méthodes à la limite de la légalité, ce n’est pas la méthode, ni la démarche défendue par RGC Contentieux Dentaire. « Il ne faut pas oublier que nous avons affaire à des personnes. Si nous
voulons qu’ils remboursent les sommes dues à nos clients, nous souhaitons également préserver la relation avec leur dentiste. Nous devons pour cela les traiter avec respect et dignité. »

Toute dette doit être remboursée, même la plus petite

Par crainte d’avoir des frais de recouvrement plus importants que le montant de la créance elle-même, la plupart des dentistes n’osent pas engager de démarche pour recouvrer ce qui leur est dû. Bien souvent, lorsqu’ils prennent contact avec RGC pour la première fois, c’est que leur créance avoisine déjà 1000 d’euros. Un délai inutile, puisque la particularité de RGC Contentieux Dentaire est de se rémunérer au moyen d’une commission sur la somme récupérée et ce, sans minimum exigé.

Tout impayé devant être remboursé, le recours peut être engagé dès 30 euros. Il n’y a aucun frais de dossier à prévoir pour le dentiste, qui reste libre de tout engagement.

Comme tous les professionnels de santé libéraux, les dentistes ont des charges à régler, souvent importantes, à la fin du mois. Une facture qui n’est pas payée peut vite mettre à mal l’équilibre de leur trésorerie. Pas de place, donc, pour la caricature, ou la croyance populaire qui veut que le dentiste n’aurait pas à s’inquiéter de sa « fin
de mois ». D’autant plus lorsqu’il s’agit parfois de sommes élevées.

Comme j’aime à le rappeler, les dentistes ont passé du temps avec le patient. Il est légitime, dès lors, qu’ils soient payés comme convenu pour leur intervention », ajoute Steve Manai.

Ne rien laisser de côté

Pour Steve Manai, il n’y a pas de grande rivière sans petit ruisseau. Les petites dettes amoncelées au fils de mois finissent par représenter à la fin de l’année de grosses pertes pour les cabinets dentaires.

Aussi, lorsqu’une procédure est lancée, il est demandé au client s’il n’existe pas dans sa comptabilité d’autres créances en souffrance. « Bien souvent, il en retrouve plusieurs et récupèrent 30 euros par-ci, 60 euros par-là, il finit presque par trouver
cela amusant. »